Projets EED&QV

L’Association et ses projets

Eaunes Environnement Durable et Qualité de Vie est une association qui vise à développer une réflexion citoyenne et vigilante sur l’environnement en général et celui d’Eaunes en particulier.

Ses actions et ses projets se sont développés et diversifiés :

Journées et débats éco-citoyens, réflexions et actions sur l’urbanisme, les questions de transports et de circulations locales, les rayonnements électro magnétiques (ondes des antennes relais en particulier)…

 

Actuellement l’Association concentre sa vigilance sur 4 points :

-les impacts des antennes relais sur la santé. D’où les mesures demandées aux opérateurs sur les antennesd’Eaunes.

 -Les circulations des piétons et des vélos dans Eaunes : proposition à la Mairie d’un cheminement cyclable traversant Eaunes de l’Abbaye au stade.

 -Le suivi du projet d’implantation de la ZAE(Zone d’Activité Economique)

-Les questions d’actualité :Le développement durable et l’Agenda 21 dans le cadre de la Communautéd’Agglomération de Muret et l’impact des travaux de forestage sur la forêt d’Eaunes.

 

VENEZ NOUS REJOINDRE DANS CES ACTIONS

 

Historique

L'association EED&QV, après sa création en décembre 2005, consacra essentiellement tous ses efforts à lutter contre l'installation dans la ZAC du Mandarin de l'usine Métal-Technic "installation classée pour l'environnement". Elle est parvenue à un formidable résultat au mois d'octobre 2006 : l'annulation du permis de construire, l'abrogation de l'autorisation préfectorale d'exploitation, et l'engagement de M le maire d'Eaunes de ne plus autoriser d'installations classées dans la ZAC du Mandarin et dans son extension projetée pour le compte de la CAM.

 

Après une forte période de mobilisation autour de cet enjeu important pour la qualité de vie dans la commune, l’association Eaunes Environnement Durable et Qualité de Vie continue à faire vivre une veille sur le développement de l’urbanisation et son impact alors que la commune est engagée dans une phase d’expansion importante.

 

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Assemblées Générales

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Video d'une émission japonaise intitulée : "Radiations causant des changements inhabituels : qu'arrive-t-il aux enfants maintenant ?" (14/07/11)

On y voit Mme Mika Noro, présidente de l'association "Un pont pour Tchernobyl" qui permettait à des enfants touchés par les radiations de venir se reposer au Japon.

Elle compare les symptômes qu'elle a pu observer en Bélarus, pays le plus touché par les radiations, et les symptômes qui apparaissent au Japon.

Lien (23mn) : http://www.youtube.com/watch?v=RtLYproD6Zge

On rapprochera le discours très humain de ces deux femmes avec l'arrogance et le mépris d'un Jean-Marc Jancovici, nucléocrate forcené, qui écrit : "Et hop, grâce à un événement (Fukushima) qui n'a pas fait un mort à cause des radiations (et qui restera en tout état de cause très très très en dessous d'une semaine de circulation routière en France, où aucun candidat ne propose de supprimer 50% à 75% des voitures en 10 ans).

Que tout ceux qui citent régulièrement ce monsieur, sachent qui il cite. Les enfants japonais leur en seront reconnaissants.


Robin des toits - par EED&QV le 27/10/2013 @ 17:08

ROBIN DES TOITS
Correspondance : 12 rue Lucien Sampaix 75010 Paris
Tél. : 33 1 43 55 96 08
E-mail : contact@robindestoits.org
http://www.robindestoits.org


Compteur LINKY, attaqué au Conseil d'Etat par Robin des Toits


L'association nationale Robin des Toits a déposé au Conseil d'Etat un recours contre la décision du ministre de l'énergie annoncée dans son
intervention du 28 septembre 2011 de généralisation du compteur "intelligent" dit "Linky".

Robin des Toits soulève quatre défauts majeurs dans cette décision :

- le manquement total au Principe de Précaution avec l'absence d'étude d'impact des conséquences en
termes d'exposition de la population aux champs électromagnétiques, récemment classés cancérogènes
possibles par l'OMS, absence d'étude de l'impact sanitaire, absence de prise en considération des
technologies alternatives ;

- la violation de la loi relative à l'informatique et aux libertés
(loi du 6 janvier 1978) avec une collecte et
un traitement de données présentant un caractère excessif, eu égard
à l'atteinte à la vie privée, par
rapport à la finalité recherchée ;

- la violation du code des marchés publics, l'élaboration et le choix
du prototype, qui va représenter une
plus-value considérable pour le concepteur, n'ayant fait l'objet
d'aucun appel d'offres ni de mise en
concurrence ;

- la violation du droit de propriété des collectivités territoriales
et du principe de libre administration, les
collectivités étant, dans l'opération, dépossédées des compteurs
qui étaient leur propriété ; en outre, une
loi était nécessaire pour opérer un tel transfert de propriété.

Le cumul d'infractions et d'illégalités énumérées ci-dessus fonde la
légitimité de toute personne à s'opposer à l'installation de ce type
de compteur en s'appuyant notamment sur la récente décision du Conseil
d'Etat qui rappelle que toute décision publique est soumise au
Principe de Précaution.
Or, la violation du Principe de Précaution est manifeste dans le cas
de ce type de compteur (électricité, eau et gaz).

Maintenant que le délai est interrompu par son recours déposé,
l'association nationale Robin des Toits invite les élu(e)s et
Collectivités locales à s'associer à elle dans cette action, et les
autres associations et groupements opposés à Linky à intervenir dans
le litige afin de présenter leurs propres arguments et augmenter ainsi
les chances d'obtenir l'annulation de cette décision qui pêche sur
tant de points.

Contact presse:
Etienne CENDRIER


CYBERACTIONS - par EED&QV le 27/10/2013 @ 17:08

Vous avez raté une pétition ou cyber action ? Retrouvez-les toutes à cette adresse http://www.cyberacteurs.org/actions
>
Malgré un record de mobilisation (près de 20 000 participants) le Parlement a adopté, lundi 28 novembre, une proposition de loi UMP sur "les certificats d'obtention végétale". Il devrait simplifier l'utilisation de semences de variétés protégées. Une simplification contestée par certains syndicats professionnels, qui estiment qu'elle "bafoue" des pratiques agricoles ancestrales.
> http://www.cyberacteurs.org/quotidien/equotidien.php?id=460
>

Cyber@ction 448 : Pour un nouveau moratoire sur les OGM

La cyber @ction est signable en ligne
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/nouveau-moratoire-ogm-398.html

Le conseil d'Etat a annulé lundi la suspension de culture du maïs OGM de Monsanto prise par le gouvernement français en février 2008 et remise en cause depuis par la Cour de justice européenne.

"Le Conseil d’État relève que le ministre de l’Agriculture n’a pu justifier de sa compétence pour prendre les arrêtés, faute d’avoir apporté la preuve de l’existence d’un niveau de risque particulièrement élevé pour la santé ou l’environnement", a indiqué le Conseil dans un communiqué.

S’IL LE FAUT, NOUS RETOURNERONS DANS LES CHAMPS DE MAïS AU PRINTEMPS PROCHAIN

Suite à la levée de la clause de sauvegarde sur le maïs Mon810, les semences OGM risquent d’être commercialisées et vendues au printemps prochain.

Il est URGENT que le gouvernement rende effectif un nouveau moratoire. Le dossier du Mon810 comporte encore plus de preuves à charge qu’en 2008 : problèmes de santé, miel contaminé, insectes résistants, …

Une course de vitesse est engagée ; Monsanto et ses amis sont prêts à distribuer dans nos campagnes leurs chimères brevetées et contaminantes, et mettre tout-le-monde devant le fait accompli : gouvernement, paysans et consommateurs.

La France a la possibilité dès aujourd’hui de déposer un moratoire qui prend en compte les décisions politiques de l'union européenne, notamment en ce qui concerne la modification des évaluations, quelle que soit l'avis de la commission européenne .

Nous sommes déterminés à engager toute action permettant d’éviter tout nouveau semis au printemps prochain.

Nous réaffirmons notre opposition à tous les OGM en plein champ, qu’ils soient transgéniques ou issus de mutagénèse, qu’ils soient destinés à l’alimentation animale, humaine ou aux agro carburants, qu’ils soient produits chez nous ou ailleurs.

Le Collectif des Faucheurs Volontaires, le 29 novembre 2011

Nous vous proposons de vous mobiliser pour associer le plus grand nombre de citoyens à cette demande urgente

Alain Uguen
Association Cyber @cteurs

COMMENT AGIR ?
Sur le site :
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/nouveau-moratoire-ogm-398.html
> Par courrier électronique :
> 1- Copiez LE TEXTE À ENVOYER ci-dessous entre les ############
> 2- Ouvrez un nouveau message et collez le texte
> 3- Signez le : prénom, nom, adresse, ville
> 4- Rajouter l'objet de votre choix : sortir du nucléaire
> 5- Adressez votre message aux adresses suivantes :
cyberacteurs@wanadoo.fr
marie-claire.daveu@developpement-durable.gouv.fr

Cliquer ici :
mailto:cyberacteurs@wanadoo.fr;marie-claire.daveu@developpement-durable.gouv.fr>
ou ici selon votre logiciel de messagerie
mailto:cyberacteurs@wanadoo.fr,marie-claire.daveu@developpement-durable.gouv.fr>

Vérifiez que les 2 adresses apparaissent bien


6- Envoyez le message

Par cette action, vous ferez connaître votre opinion à la Ministre de l'Ecologie et à Cyber @cteurs pour nous permettre d'évaluer l'impact de cette action.


Prénom, Nom
Profession :
Adresse :
Localité :
Pays :
A : Mme Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l'Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement,

Madame la Ministre,
Il est URGENT que le gouvernement rende effectif un nouveau moratoire. Le dossier du Mon810 comporte encore plus de preuves à charge qu’en 2008 : problèmes de santé, miel contaminé, insectes résistants, …

La France a la possibilité dès aujourd’hui de déposer un moratoire qui prend en compte les décisions politiques de l'union européenne, notamment en ce qui concerne la modification des évaluations, quelle que soit l'avis de la commission européenne .

Nous réaffirmons notre opposition à tous les OGM en plein champ, qu’ils soient transgéniques ou issus de mutagénèse, qu’ils soient destinés à l’alimentation animale, humaine ou aux agro carburants, qu’ils soient produits chez nous ou ailleurs.

Je vous prie d’agréer, Madame la Ministre, l’expression de ma plus haute mobilisation.



Quelle énergie pour l'avenir ? - par EED&QV le 27/10/2013 @ 17:06

Bernard Laponche : “Il y a une forte probabilité d'un accident nucléaire majeur en Europe”

LE MONDE BOUGE- Physicien nucléaire, polytechnicien, Bernard Laponche est formel : la France est dans l'erreur. Avec le nucléaire, elle s'obstine à privilégier une énergie non seulement dangereuse mais obsolète. Alors que d'autres solutions existent, grâce auxquelles les Allemands ont déjà commencé leur transition énergétique.

> Il est des leurs. Enfin, il était des leurs. Polytechnicien, physicien nucléaire, Bernard Laponche a participé, dans les années 1960, au sein du Commissariat à l'énergie atomique, à l'élaboration des premières centrales françaises. La découverte des conditions de travail des salariés de la Hague sera pour lui un choc : il prend conscience du danger de l'atome, qu'il juge moralement inacceptable. Dès les années 1980, Bernard Laponche, désormais militant au sein de la CFDT, prône la maîtrise de la consommation énergétique et le développement des énergies renouvelables. Les décennies suivantes lui ont donné raison. Mais la France, seul pays au monde à avoir choisi l'option du tout-nucléaire, s'obstine dans l'erreur, déplore-t-il, et s'aveugle : énergie du passé, sans innovation possible, le nucléaire ne représente pas seulement une menace terrifiante, pour nous et pour les générations qui suivront ; il condamne notre pays à rater le train de l'indispensable révolution énergétique.

>  On présente toujours l'énergie nucléaire comme une technologie très sophistiquée. Vous dites qu'il s'agit juste du « moyen le plus dangereux de faire bouillir de l'eau chaude » (1) . C'est provocateur, non ?
Pas vraiment... Un réacteur nucléaire n'est qu'une chaudière : il produit de la chaleur. Mais au lieu que la chaleur, comme dans les centrales thermiques, provienne de la combustion du charbon ou du gaz, elle est le résultat de la fission de l'uranium. Cette chaleur, sous forme de vapeur d'eau, entraîne une turbine qui produit de l'électricité. L'énergie nucléaire n'est donc pas ce truc miraculeux qui verrait l'électricité « sortir » du réacteur, comme s'il y avait une production presque spontanée...

>Pourquoi cette image s'est-elle imposée ?

Les promoteurs du nucléaire ne tiennent pas à mettre en avant la matière première, l'uranium. C'est lié au fait qu'à l'origine le nucléaire était militaire, donc stratégique. Et puis en laissant penser que l'électricité est produite directement, ils lui donnent un côté magique, ainsi qu'une puissance trois fois plus élevée, car c'est la chaleur produite que l'on évalue, pas l'électricité. Or les deux tiers de la chaleur sont perdus, ils réchauffent l'eau des fleuves ou de la mer qui sert à refroidir les réacteurs.

>Parlons donc du combustible...
Ce sont des crayons d'uranium, de l'uranium légèrement enrichi en isotope 235, pour les réacteurs français. La fission est une découverte récente (1938) : un neutron tape un noyau d'uranium qui explose, produit des fragments, donc de l'énergie, et des neutrons, qui vont taper d'autres noyaux – c'est la réaction en chaîne. La multiplication des fissions produit de la chaleur. Or les fragments de la fission sont de nouveaux produits radioactifs, qui émettent des rayons alpha, bêta, gamma... A l'intérieur des réacteurs, vous produisez donc de la chaleur, c'est le côté positif, mais aussi des produits radioactifs, notamment du plutonium, le corps le plus dangereux qu'on puisse imaginer, qui n'existe qu'à l'état de trace dans la nature. On aurait dû s'interroger dès l'origine : ce moyen de produire de l'eau chaude est-il acceptable ?

>Cette réaction en chaîne, on peut tout de même l'arrêter à chaque instant, non ?
Dans un fonctionnement normal, on abaisse les barres de contrôle dans le cœur du réacteur : elles sont constituées de matériaux qui absorbent les neutrons, ce qui arrête la réaction en chaîne. Mais il faut continuer de refroidir les réacteurs une fois arrêtés, car les produits radioactifs continuent de produire de la chaleur. La nature même de la technique est donc source de risques multiples : s'il y a une panne dans les barres de contrôle, il y a un emballement de la réaction en chaîne, ce qui peut provoquer une explosion nucléaire ; s'il y a une fissure dans le circuit d'eau, il y a perte de refroidissement, la chaleur extrême détruit les gaines du combustible, certains produits radioactifs s'échappent, on assiste à la formation d'hydrogène, cet hydrogène entraîne des matières radioactives et peut exploser.

“Puisque le point de départ, c'est la créationde produits radioactifs en grande quantité, la catastropheest intrinsèque à la technique. Le réacteur fabrique les moyens de sa propre destruction.”

>Mais on multiplie les systèmes de protection...
Vous avez beau les multiplier, il y a toujours des situations dans lesquelles ces protections ne tiennent pas. A Tchernobyl, on a invoqué, à juste titre, un défaut du réacteur et une erreur d'expérimentation ; à Fukushima, l'inondation causée par le tsunami. Au Blayais, en Gironde, où la centrale a été inondée et où on a frôlé un accident majeur, on n'avait pas prévu la tempête de 1999. Mais on a vu des accidents sans tsunami ni inondation, comme à Three Mile Island, aux Etats-Unis, en 1979. On peut aussi imaginer, dans de nombreux pays, un conflit armé, un sabotage... Puisque le point de départ, c'est la création de produits radioactifs en grande quantité, la catastrophe est intrinsèque à la technique. Le réacteur fabrique les moyens de sa propre destruction.

>Y a-t-il eu des innovations en matière nucléaire ?
Aucun progrès technologique majeur dans le nucléaire depuis sa naissance, dans les années 1940 et 1950. Les réacteurs actuels en France sont les moteurs des sous-marins atomiques américains des années 1950. En plus gros. Les réacteurs, l'enrichissement de l'uranium et le retraitement, sont des technologies héritées de la Seconde Guerre mondiale. On a juste augmenté la puissance et ajouté des protections. Mais parce que le système est de plus en plus compliqué, on s'aperçoit que ces protections ne renforcent pas toujours la sûreté.

>On a du mal à croire qu'il n'y ait eu aucune innovation majeure...
Si, le surgénérateur ! Avec Superphénix, on changeait de modèle de réacteur. Et heureusement qu'on l'a arrêté en 1998, car il était basé sur l'utilisation du plutonium. Le plutonium est un million de fois plus radioactif que l'uranium. Comment a-t-on pu imaginer faire d'un matériau aussi dangereux le combustible d'une filière de réacteurs exportable dans le monde entier ?

>Nicolas Sarkozy affirme que si l'on refuse le nucléaire, on doit accepter de s'éclairer à la bougie. Qu'en pensez-vous ?
Il est lassant d'entendre des dirigeants qui n'y connaissent rien continuer à dire n'importe quoi. Nicolas Sarkozy ne croit pas si bien dire ; un jour, et pourquoi pas dès cet été, les Français s'éclaireront à la bougie : comme nous sommes le seul pays au monde à avoir choisi de produire 80 % de notre électricité avec une seule source, le nucléaire, et une seule technique, le réacteur à eau pressurisée, si nous sommes contraints d'arrêter nos réacteurs, nous retournerons à la bougie ! Pas besoin d'une catastrophe, juste un gros pépin générique, ou une sécheresse et une canicule exceptionnelles. Car on ne peut pas faire bouillir l'eau des rivières. En revanche, si l'on décidait de sortir du nucléaire en vingt ans, on pourrait démultiplier notre inventivité énergétique pour justement éviter la bougie.

>Les défenseurs du nucléaire disent qu'en France, avec notre nouveau réacteur, l'EPR, que l'on construit à Flamanville, on arrive à un risque quasi nul...
Chaque pays assure que ses réacteurs sont mieux que les autres. Avant Fukushima, le discours des Japonais était le même que celui des Français. On en est déjà à cinq réacteurs détruits (Three Mile Island, Tchernobyl, et trois réacteurs à Fukushima) sur quatre cent cinquante réacteurs dans le monde, des centaines de kilomètres carrés inhabitables. La probabilité théorique, selon les experts de la sûreté nucléaire, devait être de un pour cent mille « années-réacteur » [une année-réacteur, c'est un réacteur fonctionnant pendant un an, NDLR], voire un million d'années-réacteur pour un accident majeur, type Tchernobyl ! La réalité de ce qui a été constaté est trois cents fois supérieure à ces savants calculs. Il y a donc une forte probabilité d'un accident nucléaire majeur en Europe.

>Une innovation majeure pourrait-elle vous conduire à revoir votre jugement ?
Je ne vois pas de solution dans l'état actuel, non pas de l'ingénierie, mais de la connaissance scientifique. Je ne dis pas qu'un jour un savant ne trouvera pas un moyen d'utiliser l'énergie de liaison des noyaux de façon astucieuse, qui ne crée pas ces montagnes de produits radioactifs. Mais pour le moment, il n'y a pas !

>Pourquoi vous opposez-vous à Iter, expérience sur la fusion menée à Cadarache, sous l'égide de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) ?
La fusion, c'est l'inverse de la fission. On soude deux petits noyaux, deux isotopes de l'hydrogène, le deutérium (un proton et un neutron) et le tritium (un proton et deux neutrons), et cette soudure dégage de l'énergie. Mais il faut arriver à les souder, ces noyaux ! Dans le Soleil, ils se soudent du fait de la gravitation. Sur Terre, on peut utiliser une bombe atomique, ça marche très bien. L'explosion provoque la fusion des deux noyaux, qui provoque une seconde explosion beaucoup plus forte : c'est la bombe à hydrogène, la bombe H. Pour une fusion sans bombe, il faut créer des champs magnétiques colossaux afin d'atteindre des températures de cent millions de degrés. Iter, à l'origine un projet soviétique, est une expérience de laboratoire à une échelle pharaonique, des neutrons extrêmement puissants bombardent les parois en acier du réacteur, ces matériaux deviennent radioactifs et doivent d'ailleurs être remplacés très souvent. Je ne suis pas spécialiste de la fusion, mais je me souviens que nos deux derniers Prix Nobel français de physique, Pierre-Gilles de Gennes et Georges Charpak, avaient dit qu'Iter n'était pas une bonne idée. Ils prônaient les recherches fondamentales avant de construire cet énorme bazar. Personne n'a tenu compte de leur avis, et nos politiques se sont précipités, sur des arguments de pure communication – on refait l'énergie du Soleil – pour qu'Iter se fasse en France.

>Pourquoi ?
Parce que les Français veulent être les champions du nucléaire dans le monde. Les Japonais voulaient Iter, mais leur Prix Nobel de physique Masatoshi Koshiba a dit « pas question », à cause du risque sismique. Je pense que ce projet va s'arrêter parce que son prix augmente de façon exponentielle. Et personne ne s'est posé la question : si jamais ça marchait ? Que serait un réacteur à fusion ? Comme disent les gens de l'association négaWatt, pourquoi vouloir recréer sur Terre l'énergie du Soleil puisqu'elle nous arrive en grande quantité ?

>Que répondez-vous à ceux qui pensent que l'impératif du réchauffement climatique, donc la nécessaire réduction des émissions de CO2, nous impose d'en passer par le nucléaire ?
Tout d'abord, on ne peut pas faire des émissions de CO2 le seul critère de choix entre les techniques de production d'électricité. Faut-il accepter qu'au nom du climat, tous les cinq ou dix ans, un accident de type Fukushima se produise quelque part dans le monde ? Ensuite, l'Agence internationale de l'énergie (AIE) a montré que si l'on voulait tenir nos objectifs de réduction des émissions de CO2, la moitié de l'effort devait porter sur les économies d'énergie. Pour l'autre moitié, le recours aux énergies renouvelables est essentiel, la part du nucléaire n'en représentant que 6 %. Il faut donc relativiser l'avantage du nucléaire.

“Comme on a fait trop de centrales, il y a eu pression pour la consommation d'électricité,en particulier pour son usage le plus imbécile, le chauffage, pour lequel la France est championne.”

>Vous avez commencé votre carrière au CEA et avez été un artisan de cette énergie. Que s'est-il passé ?
J'ai même fait une thèse sur le plutonium, et je ne me posais aucune question. Tout est très compartimenté au CEA, je faisais mes calculs sur la centrale EDF 3 de Chinon, n'avais aucune idée des risques d'accident ni du problème des déchets. Je travaillais avec des gens brillants. Et puis j'ai commencé à militer à la CFDT, après 68, et on s'est intéressé aux conditions de travail des travailleurs de la Hague. Je me suis aperçu que, moi, ingénieur dans mon bureau, je ne connaissais rien de leurs conditions de travail, et que les gens de la Hague ne savaient pas ce qu'était un réacteur nucléaire. On a donc écrit, en 1975, un bouquin collectif qui a été un best-seller,L'Electronucléaire en France.Le patron du CEA de l'époque a d'ailleurs reconnu la qualité de ce travail. Pour cela, j'ai travaillé pendant six mois à partir de documents américains, parce qu'en France il n'y avait rien. La CFDT a alors pris position contre le programme nucléaire. J'ai commencé à travailler sur les alternatives au nucléaire et, en 1982, je suis entré à l'Agence française pour la maîtrise de l'énergie.

>Cela fait trente ans... Que prôniez-vous à l'époque ?
Mais la même chose qu'aujourd'hui : économies d'énergie et énergies renouvelables ! Les principes de l'électricité photovoltaïque, donc des panneaux solaires, étaient déjà connus. Aujourd'hui, on ne parle que de l'électricité, mais ce qu'il faudrait d'abord installer partout, c'est des chauffe-eau solaires ! Rien de plus simple : un fluide caloporteur circule dans un tube sous un panneau vitré, et permet d'obtenir de l'eau à 60 degrés. L'Allemagne, pays moins ensoleillé que la France, a dix fois plus de chauffe-eau solaires. Dans le Midi, il n'y en a pas, ou si peu !

>Cela ne demande pas beaucoup d'innovation...
L'innovation permet avant tout de réduire les coûts. L'éolien, sa compétitivité face au nucléaire est acquise. En ce qui concerne le photovoltaïque, les Allemands anticipent des coûts en baisse de 5 % chaque année. Il y a beaucoup de recherches à faire sur les énergies marines, les courants, l'énergie des vagues, la chaleur de la terre avec la géothermie. Les énergies renouvelables, sous un mot collectif, sont très différentes, et peuvent couvrir à peu près tous les besoins énergétiques. Les Allemands estiment qu'elles couvriront 80 % des leurs d'ici à 2050. C'est plus que crédible, à condition de toujours rechercher les économies d'énergie.

>Le fait qu'on ait produit de l'électricité à partir du nucléaire à un coût modique, ne prenant pas en compte les coûts du démantèlement et de la gestion à long terme des déchets radioactifs, a-t-il pénalisé les énergies renouvelables ?
Oui, et comme on a fait trop de centrales nucléaires, il y a toujours eu pression pour la consommation d'électricité, et en particulier pour son usage le plus imbécile, le chauffage électrique, pour lequel la France est championne d'Europe. On construit des logements médiocres, l'installation de convecteurs ne coûte rien, cela crée du coup un problème de puissance électrique globale : en Europe, la différence entre la consommation moyenne et la pointe hivernale est due pour moitié à la France ! Résultat, l'hiver, nous devons acheter de l'électricité à l'Allemagne, qui produit cette électricité avec du charbon… Hors chauffage, les Français consomment encore 25 % de plus d'électricité par habitant que les Allemands. Qui n'ont pas seulement des maisons mieux isolées, mais aussi des appareils électroménagers plus efficaces, et qui font plus attention, car l'électricité est un peu plus chère chez eux.

“Les Allemands étudient des réseauxqui combinent biomasse, hydraulique, éolien,
photovoltaïque. Ils réussissent la transitionénergétique. Parce qu'ils l'ont décidée.”

>Quelles sont les grandes innovations à venir en matière d'énergie ?
Les « smart grids », les réseaux intelligents ! Grâce à l'informatique, on peut optimiser la production et la distribution d'électricité. A l'échelle d'un village, d'une ville ou d'un département, vous pilotez la consommation, vous pouvez faire en sorte, par exemple, que tous les réfrigérateurs ne démarrent pas en même temps. Les défenseurs du nucléaire mettent toujours en avant le fait que les énergies renouvelables sont fluctuantes – le vent ne souffle pas toujours, il n'y a pas toujours du soleil – pour asséner que si l'on supprime le nucléaire, il faudra tant de millions d'éoliennes... Mais tout change si l'on raisonne en termes de combinaisons ! Les Allemands étudient des réseaux qui combinent biomasse, hydraulique, éolien, photovoltaïque. Et ils travaillent sur la demande : la demande la nuit est plus faible, donc avec l'éolien, la nuit, on pompe l'eau qui va réalimenter un barrage qui fonctionnera pour la pointe de jour... C'est cela, la grande innovation de la transition énergétique, et elle est totalement opposée à un gros système centralisé comme le nucléaire. Le système du futur ? Un territoire, avec des compteurs intelligents, qui font la jonction parfaite entre consommation et production locale.Small is beautiful.Les Allemands réussissent en ce moment cette transition énergétique. Parce qu'ils l'ont décidée. C'est cela, le principal : il faut prendre la décision. Cela suppose une vraie prise de conscience.

>Comment expliquez-vous l'inconscience française ?
Par l'arrogance du Corps des ingénieurs des Mines, d'une part, et la servilité des politiques, de l'autre. Une petite caste techno-bureaucratique a gouverné les questions énergétiques depuis toujours, puisque ce sont eux qui tenaient les Charbonnages, puis le pétrole, et ensuite le nucléaire. Ils ont toujours poussé jusqu'à l'extrême, et imposé aux politiques, la manie mono-énergétique.

>Cela vient de notre pouvoir centralisé ?
Complètement ! Dans les années 1970, un chercheur suédois a écrit une étude sur le fait que le nucléaire marche dans certains pays et pas dans d'autres. Et il en a conclu qu'une structure politico-administrative autoritaire et centralisée avait permis qu'il se développe dans deux pays : l'URSS et la France. Pour de fausses raisons – indépendance énergétique, puissance de la France –, on maintient le lien entre le nucléaire civil et militaire – le CEA a une branche applications militaires, Areva fournit du plutonium à l'armée. Ce complexe militaro-étatico-industriel fait qu'ici on considère madame Merkel comme une folle. Au lieu de se dire que si les Allemands font autrement, on pourrait peut-être regarder… Non, on décide que les Allemands sont des cons. Nos responsables claironnent qu'on a les réacteurs les plus sûrs, que le nucléaire c'est l'avenir, et qu'on va en vendre partout. C'est l'argument qu'on utilise depuis toujours, et on a vendu péniblement neuf réacteurs en cinquante ans, plus les deux qui sont en construction en Chine. Ce n'est pas ce qui était prévu… En dix ans, les Allemands, eux, ont créé près de 400 000 emplois dans les énergies renouvelables.

>En dehors des écologistes, personne, y compris à gauche, ne remet en cause le nucléaire...
Les choses évoluent vite. Fukushima ébranle les pro-nucléaire honnêtes. Je pense que la décision allemande aura une influence, pas sur nos dirigeants actuels, mais sur nos industriels et aussi sur les financiers. Ils doivent se dire : vais-je continuer à mettre mes billes dans un truc comme ça ? Il y avait jadis l'alliance Areva-Siemens pour proposer des réacteurs EPR, mais Siemens en est sorti depuis des années. On peut toujours se rassurer en pensant que les Allemands se trompent, mais on peut difficilement soutenir qu'ils aient fait ces dernières décennies de mauvais choix et que leur industrie soit faiblarde...

>Les écologistes peuvent-ils peser sur les socialistes ?
Bien sûr. Déjà, en 2000, tout était prêt pour l'EPR, mais Dominique Voynet, ministre de l'Environnement, a dit à Lionel Jospin : « Si tu fais l'EPR, je démissionne. » C'est la seule fois où elle a mis sa démission dans la balance et l'EPR ne s'est pas fait à l'époque. Je travaillais auprès d'elle comme conseiller sur ces questions, j'ai pondu trois cent cinquante notes. Il y avait une bagarre quotidienne entre le ministère de l'Environnement et le ministère de l'Industrie, qui se moquait complètement de la sécurité. Malheureusement, l'EPR est reparti avec Chirac en 2002. Et il va nous coûter très cher. En un demi-siècle, on a gaspillé l'énergie, on a fait n'importe quoi. Il est urgent de choisir une civilisation énergétique qui ne menace pas la vie.

Propos recueillis par Vincent Remy

Télérama n° 3205

 (1) Titre d'unecontribution dans les pages Rebonds de «Libération »(24 mars 2011).


Vous savez comment vous débarrasser de l'huile de friture après utilisation?

Savez-vous où jeter l’huile de friture ou tout autre aliment frit à l'huile?

Même si nous ne faisons pas souvent de friture, nous avons l’habitude de jeter l’huile utilisée soit dans les égouts par l'évier de la cuisine, soit par les toilettes. Vrai....?
Ceci est une erreur fréquente que nous faisons.....!!!!

La meilleure façon est de recommander de le faire ainsi :

Attendez, oui attendez, même si ça demande du temps, attendez que l'huile soit complètement froide. Verser le reste de l’huile dans une bouteille plastique (genre bouteille d'eau minérale). Fermer la bouteille et la mettre dans la poubelle domestique. Un litre d’huile déversé dans l’évier souille un million de litres d'eau ! Soit la quantité d’eau suffisante à un être humain pendant ...14 ans !!! Nous avons tous besoin d'eau !
Rejetée dans le réseau des eaux usées, l’huile usagée colmate les filtres dans les stations de traitement de l'eau et perturbe les systèmes d'épuration biologiques. Le but de ce message est de sensibiliser le maximum de personnes afin de préserver notre eau à tous.
Il nous importe de préserver des millions de litres d’eau. Préservons notre monde.
Pas pour moi, pas pour vous mais pour nos enfants.
Soyons une société responsable; commençons aujourd'hui même.
Ce message est pour chacun de nous.
Nous avons la possibilité de préserver ainsi un peu de notre planète..

Une autre recette pour ceux qui ont un jardin :
mélanger la vieille huile au compost, elle nourrira les micro-organismes utiles.



12 Mai 2011 Journée Mondiale des Maladies d’origine environnementale

Le 12 mai est la Journée Mondiale des maladies environnementales : Syndrome d’hypersensibilité chimique multiple (MCS) – Electrosensibilité (EHS) - Syndrome de fatigue chronique – Syndrome de Fibromyalgie – Syndrome d’intoxication aux métaux lourds.

Les associations de malades de pathologies environnementales demandent à être enfin reconnues par l’Organisation Mondiale de la Santé.

Les personnes victimes d’hypersensibilité environnementale éprouvent habituellement une variété de symptômes invalidants allant des troubles neurologiques aux difficultés respiratoires et digestives en passant par des troubles immunologiques, dermatologiques, endocriniens, cardiovasculaires ou encore larmoiement et écoulement nasal, des maux de tête, de la fatigue...
L’hypersensibilité environnementale peut apparaître graduellement à la suite d’une exposition chronique à des concentrations même très faibles de produits chimiques (notamment syndrome des bâtiments malsains) ou encore se manifester soudainement après une exposition majeure (par exemple lors d’une catastrophe écologique ou d’un déversement de produits chimiques) et/ou en réponse aux rayonnements électromagnétiques présents dans notre vie quotidienne.
Cette affection peut être provoquée par des facteurs comme les moisissures, les pesticides, les solvants, les produits chimiques qui se dégagent des tapis ou des meubles, le mercure qui s’échappe des amalgames dentaires, et les phénomènes électromagnétiques, seuls ou combinés (source : rapport demandé par la Commission canadienne des droits de la personne – 2007).

Le 6 mai 2011, différentes associations européennes de malades se sont réunies à Würzburg en Allemagne afin de se fédérer et ainsi permettre une meilleure reconnaissance de ces syndromes au niveau européen ;

Le 13 mai 2011, une délégation d’un regroupement international sur ce sujet sera reçue à l'O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) par le Dr María Neira, Directrice de Santé Publique et d’Environnement, pour une reconnaissance officielle par l’O.M.S. du Syndrome de l'Hypersensibilité Chimique Multiple et du Syndrome de l’Electrosensibilité, à l’instar du Syndrome de Fatigue Chronique et du Syndrome de Fibromyalgie répertoriés dans la classification internationale des maladies – ICD10 :

Selon Francesca R Orlando un des porte-paroles des associations de malades représentées le 13 mai (Vice Présidente de l’association italienne A.M.I.C.A) : « Actuellement les personnes avec MCS ou EHS sont traités de manière symptomatique puisque les médecins n’ont pas de formation en médecine environnementale, mais la preuve la plus indiscutable de l´origine environnementale de ces deux maladies est que si on évite les agents déclenchant – chimiques et EMF- les symptômes s’atténuent. La reconnaissance par l’OMS aidera à la recherche médicale dans ce domaine ».
« Cette reconnaissance permettra également une meilleure prise en charge des maladies au niveau national” ajoutent Catherine Lemasson et Marion Tayol, responsables de l’association française des hypersensibles chimiques : SOS- MCS.

Précisions de l’Appel pour la reconnaissance officielle par l’O.M.S. des maladies environnementales du 13 Mai 2011:

• 26 pays, plus de 200 experts de santé environnementale, plus de 240 ONG, fondations et partenariats du domaine de la santé environnementale et de l’environnement ont rejoint ce regroupement international : http://www.asquifyde.es/noticia-detalle.aspx?noticia=1291

• le Réseau Environnement Santé et ses associations partenaires : Fibromyalgie France, Non au Mercure Dentaire, Robin des Toits, SOS M.C.S. sont signataires de cet appel.



RESEAU ENVIRONNEMENT SANTE

148 Rue Faubourg Saint-Denis 75010 Paris

75010 Paris

http://www.reseau-environnement-sante.fr



Contacts :

- Fibromyalgie France, Carole Robert,06 79 20 12 67, http://www.fibromyalgie-france.org

- SOS MCS, Marion Tayol, 06 08 36 39 88, Catherine Lemasson, 04 72 27 15 24, http://www.sosmcs.org

- Non au Mercure dentaire, Marie Grosman, 06 80 17 10 14, http://www.non-au-mercure-dentaire.org

- Robin des Toits, Etienne Cendrier, 01 40 18 02 81, http://www.robindestoits.org

- RES, Soléane Duplan, 06 70 07 84 87, http://www.reseau-environnement-sante.fr
 




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